Where Stars Land
L’avis de Yumiko
J’ai beaucoup aimé ce drama. Il aborde un thème pas souvent abordé dans les dramas : celui du handicaps et du regard des autres sur la question.
Les relations du couple se construisent petit à petit et on a le temps de les aimer ensemble. J’aime beaucoup aussi le petit « couple » secondaire et leur façon plutôt lente de s’apercevoir qu’ils sont fait l’un pour l’autre…
J’ai beaucoup ri sur la scène du second chef qui laisse faire le bazar dans le bureau parce qu’il n’est pas d’accord avec la façon dont son directeur gère les choses…. je me suis aussi énervée sur la façon si lente qu’à le personnage principal féminin à se décider à agir quand il y a des situations d’urgence… où où, l’autre va mourir si tu bouges pas, il te faut si longtemps pour t’en rendre compte ???
Mdr, c’est mon côté assez réactif sans doute… lol, enfin, en tout cas, un drama, vraiment à part, à cause de son thème mais agréable à regarder malgré tout.
Note 9/10
L’avis Invité… Sooki
« Vous dites désolée comme une habitude. Est-ce que de dire que vous êtes désolée résout tous les problèmes ? » réplique de la Manager efficace à l’employée qui n’a pas été formée et se révèle inadaptée. La situation qui lui a permis d’être embauchée est abracadabrante, on comprend rapidement pourquoi elle est supposée avoir été recalée 3 fois même si elle débute au bas de l’échelle.
D’un côté, une brave fille sympathique mais limite stupide avec peu de chance de promotion et parfaitement imbue d’elle-même voire quelque peu givrée, sans compétences ayant grand besoin de formation et surtout de revoir sa manière d’appréhender la situation de travail.
De l’autre, un gars imperturbable réfractaire aux expressions de civilités mais parfaitement compétent et déterminé surtout à ne pas se faire remarquer compte tenu qu’il dispose étrangement d’un bras en acier.
Deux personnages hallucinants radicalement divergents, la fille charmante se présente de prime abord comme une tête à claques et au fil des épisodes la situation s’inverse avec le gars pitoyable qui devient la tête à claques.
Lorsqu’elle n’est pas pathétique, la jeune employée perturbatrice s’avère marrante en débit verbal accéléré et des idées préconçues cocasses fortement ancrées avec l’art délicat de s’enferrer.
Note :
Vu :